Après plusieurs années d’hégémonie sur le marché des TV OLED, et une domination sans partage sur le segment des TV premium, il faut bien reconnaître que la quiétude de LG a nettement été mise à mal en 2017 avec la multiplication des modèles chez Panasonic, Philips et Sony. Le fabricant coréen passe aujourd’hui à l’offensive avec la nouvelle série 8, l’occasion de vous proposer notre test complet du TV LG OLED55C8.
Alors que LG semblait s’être quelque peu endormi sur ses lauriers avec une série 7 intéressante, mais une évolution plus que mesurée de la série 6 lancée en 2016, le fabricant semble avoir été contraint de retrouve un minimum d’ambition pour reprendre les parts de marchés grignotées en 2017 par les japonais.
Tout comme les modèles E8 et W8, la série C8 s’appuie sur le tout nouveau processeur Alpha α9 censé améliorer un traitement vidéo qui était encore jusque-là en deçà de la concurrence sur certains points, et sur la dernière génération de dalles OLED LG Display.
Un challenger de poids face aux très attendus Panasonic FZ800 / FZ950 et au Sony AF8 que nous venons tout juste de recevoir ? Voyons cela de plus près.
Ce banc d’essai a été réalisé sur un modèle commercial. Je remercie Futureland pour le prêt du TV LG OLED55C8.
Design et qualité de fabrication
L’évolution reste minimale, mais l’esthétique et la qualité de fabrication du C8 sont particulièrement satisfaisantes, bien que l’on regrette que le LG n’ait pas encore fait le choix, comme Sony et Panasonic, d’éviter à l’utilisateur de multiplier les manipulations. En particulier la nécessité d’avoir à poser l’écran à plat pour la fixation du pied, diminuant ainsi le risque d’accident lors de l’installation, au vu de la fragilité des dalles OLED.
L’écran est entouré d’un solide cadre en aluminium, une matière que l’on retrouve d’ailleurs également sur une partie de la dalle à l’arrière. L’épaisseur de l’écran atteint 4,9 cm au niveau du châssis et 0,9 mm pour la dalle. Le téléviseur repose sur un pied en aluminium/plastique ABS relativement solide, mais dont le facteur de forme incurvé peut rendre compliqué l’intégration d’une barre son… Pourquoi faire simple lorsque l’on peut faire compliqué ?
Certains auront très certainement remarqué l’abandon du design incurvé, un choix appréciable après plusieurs années d’obstination, on peut toutefois se demander le réel intérêt d’avoir conservé au catalogue un B8 qui ne se démarque finalement que par l’absence du nouveau processeur Alpha α9.
Connectique
Le C8 propose une connectique sérieuse, avec pas moins de 4 entrées HDMI 2.0b avec support HDCP 2.2, 4K@50/60 Hz, HDR, Deep Color et CEC. L’entrée HDMI 2 est compatible canal de retour audio (ARC) et assure le passthrough des formats audio Dolby Digital et DTS. La fonction eARC n’est toutefois pas encore active avec la version actuelle du firmware, on espère toutefois voir LG proposer rapidement une mise à jour pour activer le passthrough des formats Dolby True HD et Dolby Atmos.
Le reste est plus convenu, on retrouve un adaptateur pour brancher une sortie vidéo Composite, des entrées antennes, une sortie audio Optique Toslink, une prise Ethernet, mais on peut s’étonner de l’absence du moindre port USB 3.0, les trois ports disponibles sont à la norme USB 2.0. On terminera enfin par mentionner la présence d’un tuner DVB-T2/C/S2, et des connectivités sans fil Wi-Fi 802.11ac et Bluetooth.
Télécommande
Comme depuis de nombreuses années maintenant, l’OLED C8 est livré avec la célèbre télécommande gyroscopique Magic Remote, un véritable modèle d’ergonomie dans son genre, qui offre à la fois une excellente qualité de prise en main, un contrôle précis et un accès rapide aux options les plus courantes, ainsi qu’à certaines applications à l’instar des touches Netflix et Amazon.
LG OLED 55C8 : Mesures et calibration
Le téléviseur est mesuré et calibré à l’aide du logiciel de calibration professionnel Calman 2018 édité par Portrait Displays, et qui à ce titre fait désormais partie de nos partenaires.
Sans être exceptionnels, les mesures en sortie de carton du LG OLED55C8 se montrent relativement bonnes, que l’on opte aussi bien pour les modes d’image ISF Jour, ISF Nuit ou Technicolor Expert. Dans le cas présent, nous avons opté pour le mode ISF Nuit.
Dans leur globalité, les résultats permettent de profiter d’une belle image dès le départ, à l’exception de certains petits détails. L’échelle de gris est plus que correcte, avec une moyenne DeltaE certes inférieure à 2.1 (valeur recommandée : < 3), mais la prédominance combinée des couleurs Vert/Rouge est très rapidement visible à partir de l’IRE40 comme vous pouvez le voir sur le visuel ci-dessous, et se traduit par une température de couleur de 6391 Kelvins (valeur recommandée : 6500 K).
La colorimétrie et les saturations sont là aussi convenables, quelques petits écarts de teinte sont à noter sur le Vert et le Cyan, mais la moyenne DeltaE 1.71 est plutôt excellente pour une sortie de carton.
La souplesse des réglages offerts par LG est plus qu’appréciable, en particulier une échelle de blanc réglable sur 20 points, tout comme le récent support de la fonction AutoCal sur Calman, et l’ajout de workflows pour la calibration des TV LG 2018 en SDR et HDR.
Les résultats en post-calibration sont nettement plus conformes aux résultats attendus, avec une superbe échelle de gris ajusté à 0.3 de moyenne en effectuant un minimum de retouche sur 10 points, et une température de couleur ajustée à 6516K pour un gamma à 2.39.
La teinte et les saturations de couleur ont également été ajustées, la plupart des couleurs sont dans les valeurs cibles à 75% de saturations, la moyenne DeltaE redescend d’ailleurs à 1.1 et 1.6 sur le ColorChecker.
Mesures HDR BT.2020 :
En l’absence de modes ISF HDR, les meilleurs résultats sont obtenus en mode Technicolor Expert. En sortie de carton, les résultats relevés sur l’OLED C8 sont plus que convenables, à commencer par un gamma EOTF qui suit parfaitement la courbe cible avant de s’abaisser à puissance lumineuse maximale. L’échelle de gris laisse de nouveau apparaître une dominante verte plus marquée à partir de l’IRE60, c’est suffisant pour pour voir le DeltaE grimper à une moyenne de 3.2. Côté colorimétrie, les saturations à 50% de luminance sont plutôt convenables.
Bien que la couverture des espaces couleur étendus soit peu ou proue la même, avec 70% de couverture du gamut Rec.2020 et 96,7% en DCI-P3 (D65), en matière de luminance, la puissance monte clairement d’un nouveau cran en comparaison de ce que l’on a pu voir l’an dernier. Sur une mire à 10%, le pic lumineux du C8 atteint 874 cd/m² soit un écart de 150 à 200 cd/m² en comparaison du Panasonic EZ950 et du Sony A1. Une fois l’ABL entré en action, le pic lumineuse s’abaisse à 798 cd/m², un écart qui passe difficilement inaperçu comme nous le verrons plus avant dans cet article.
LG OLED 55C8 : Qualité d’image
En dehors des considérations subjectives, qui font que certains soient plus sensibles à certains types de traitement vidéo, il faut bien reconnaître les efforts fournis par LG au fil du temps, et tout particulièrement cette année. Sur les sources haute définition, le C8 procure de très bons résultats avec une très bonne qualité de mise à l’échelle UHD 2160p, c’est tout particulièrement le cas sur les pressages Blu-ray de qualité, qui bénéficie en prime d’une excellente définition et un piqué d’image très appuyé.
Parfois un peu trop, comme on peut le voir sur les contours saillants et légèrement crénelés de certains textes blancs sur fond noir, nécessitant d’abaisser le réglage Netteté. Il est d’ailleurs toujours aussi appréciable de voir LG proposer un réglage ajustable à la fois sur l’axe Horizontal et Vertical, laissant ainsi davantage de souplesse pour obtenir une image relativement conforme à la source d’origine.
Seul petit bémol, sur certaines images à l’instar du lever de soleil qui précède le début de « la bataille des bâtards » à la fin de la saison 6 de Games of Thrones, le processus de conversion laisse apparaître une petite faiblesse sur ce type de dégradé de couleurs.
La qualité est également de mise sur les chaînes TV HD de la TNT et du Satellite, tout comme les chaînes OTT par le biais d’applications telles que Molotov ou MyCanal qui présentent l’avantage de diffuser un signal 1080p. Du côté des chaînes SD le résultat reste peu ou proue le même ; l’exemple le plus parlant est très certainement la qualité exécrable de la chaîne Numéro 23 par Satellite, et dont le résultat se rapproche davantage d’une bouillie de pixels que d’une image. Aucun téléviseur n’est encore capable de faire ce type de miracle (sic), et l’efficacité des réducteurs de bruit intégrés toute relative dès lors que l’on considère que leur intervention, participe à dégrader le rendu en adoucissant l’image.
Qualité d’image 4K HDR
Malgré une luminance toujours en retrait en comparaison des téléviseurs LED, les modèles OLED se rapprochent doucement, mais sûrement des 1000 cd/m². Bien que les séries Signature E8, G8 et W8 devraient tourner légèrement au-dessus des 900 cd/m², le C8 lui aussi bénéficie d’une petite amélioration. Comme nous l’avons déjà évoqué, le 55OLEDC8 atteint un pic lumineux très honorable de 890 cd/m² sur une mire à 10%, soit un résultat légèrement supérieur aux modèles Signature de l’an dernier.
Le C8 délivre globalement une très belle qualité d’image sur les sources 4K HDR, notamment sur la somptueuse édition Ultra HD Blu-ray de Logan, ou sur la superbe photographie de la récente série Electrical Dreams, deux exemples parmi tant d’autres ou le Dynamic Tone Mapping se montre enfin à la hauteur des exigences. Un léger bruit subsiste sur certains dégradés complexes, mais le phénomène s’avère nettement mieux contenu que par le passé.
Malheureusement, cette qualité d’image est légèrement entachée par un ABL moins discret qu’escompté en HDR, et qui atténue de manière assez notable la puissance du pic sur les images très lumineuses. Le phénomène est visible sur certains films, sans constituer une gêne notable, il est revanche bien plus visible sur les jeux vidéo HDR, à l’instar du menu d’accueil du récent Far Cry 5, ou l’on peut clairement voir l’ABL entrer rapidement en action, et atténuer fortement la luminosité de l’image.
Fluidité
Il a longtemps été reproché à LG d’être considérablement à la traîne en matière de fluidité d’image, et bien que le problème ne soit pas totalement résolu, les efforts de la marque sont indéniables. Alors que Sony introduisait l’an dernier un mode BFI (Black Frame Insertion) sur l’A1, LG l’intègre également à son tour avec le Motion Pro. Le mécanisme procure une belle fluidité d’image sur les contenus 50/60 Hz, notamment sur les programmes sportifs et les contenus en streaming.
Pour les contenus 24p lus depuis un lecteur Blu-ray, un lecteur multimédia ou HTPC, commencez tout d’abord par activer le mode Real Cinema, puis activez la compensation de mouvements TruMotion en mode Utilisateur, puis ajuster les réglages Saccades et Netteté sur 0. Les résultats sont nettement plus acceptables que par le passé, bien que certaines micro-saccades soient encore visibles sur certains travellings panoramiques. Il reste encore du chemin avant d’atteindre la qualité du Motionflow proposé chez Sony, toutefois, LG semble enfin prendre la bonne direction !
Uniformité et rétention
Fraîchement équipé de la dernière génération de dalles LG Display, l’évolution en comparaison des modèles de 2017 est finalement très substantielle. L’uniformité du modèle de test est plutôt très bonne. Un léger DSE peut être noté sur certaines mires, mais le phénomène n’est pas perceptible sur les contenus courants, et notamment le sport. Et si le banding est encore loin d’avoir totalement disparu, comme les mires de gris à 5 % à 10% le laissent apparaître, il est un peu moins perceptible que sur l’OLED Panasonic 55EZ950.
Les angles de visions sont excellents comme souvent sur les téléviseurs OLED, et le filtre anti-reflets appliqué au C8 procure de bons résultats, sans pour autant être exceptionnels en comparaison de ce que l’on peut trouver sur certains téléviseurs LED. Une légère teinte magenta/rose peut être perçue lorsque le téléviseur est installé près d’une baie vitrée, le phénomène n’est pas nouveau, mais il demeure moins agaçant que par le passé.
En ce qui concerne la rétention d’image, le risque zéro n’existe pas sur OLED. Le risque de marquage est inhérent à la technologie elle-même, et le phénomène n’est pas à prendre à la légère. LG propose, comme tous les fabricants, une fonction de décalage et de rafraîchissement des pixels, un réglage d’ajustement de la luminance des logos. Aucun problème de marquage n’a été décelé lors de notre test, cependant quelques jours ne remplacent pas une utilisation sur plusieurs mois. Prudence donc.
Input lag LG OLED55C8 :
En considérant dans un premier temps les qualités de l’OLED en matière réactivité, avec un temps de réponse instantané, le TV LG est définitivement un très bon choix pour une utilisation jeux vidéo sur console ou PC. L’input lag est mesuré à 21 ms en 1080p/60 et 23 ms en 4K/60 Hz avec ou sans HDR, soit un retard à l’affichage négligeable.
Smart TV : WebOS 4.0, une évolution mesurée
Comme le reste de la gamme de TV LG, le C8 accueille la nouvelle version 4.0 de l’interface Smart TV webOS. Pas de grands changements à noter, mais le processeur Alpha α9 participe à améliorer l’expérience. Esthétiquement on reste dans le même esprit que la précédente itération de l’interface LG, avec un design extrêmement sobre, tandis que la fluidité de navigation a été rehaussée, permettant ainsi de charger n’importe quelle application en moins de 3 secondes, et de charger plus rapidement les menus.
L’ergonomie de l’interface webOS reste toujours un modèle, les applications sont présentées sous la forme de tuiles sélectionnables de gauche à droite ; les plus utilisées sont automatiquement propulsées en tête de liste, il reste possible de personnaliser les applications que l’on souhaite voir apparaître en priorité.
L’offre d’applications est globalement généreuse, on retrouve l’essentiel avec notamment Netflix (4K HDR), Amazon Prime Video (4K HDR), Molotov TV, beIN Sports, ARTE, Youtube (4K HDR), etc. Seul MyCanal manque encore à l’appel. On trouve également un navigateur web, sympathique, mais toujours aussi dispensable sur un téléviseur.
Côté fonctionnalités, la principale nouveauté provient d’AI ThinQ, qui permet désormais d’utiliser le téléviseur pour contrôler divers objets et appareils connectés, tels que des luminaires, une machine à laver, un réfrigérateur, etc. Mais également le support des assistants vocaux Amazon Alexa et Google Assistant à venir dans les prochains mois, décuplant ainsi le nombre d’appareils pilotables à la voix depuis la télécommande.
Outre la lecture des médias sur le réseau local ou en USB, le téléviseur embarque tout un lot de fonctionnalités sans fil, du Miracast pour dupliquer l’écran d’un smartphone ou tablette Android sur le téléviseur, au Wi-Fi Direct pour lire du contenu stocké sur mobile sans passer par un point d’accès, et bien entendu l’Intel WiDi.
Conclusion : faut-il acheter le TV LG OLEDC8 ?
Bien que la nouvelle série 8 ne constitue pas une évolution drastique, LG semble enfin enclin à reprendre le bon chemin, forcé par une concurrence qui a su rapidement s’imposer sur le marché des TV OLED. À ce titre, l’OLED C8 constitue très certainement à l’heure actuelle un téléviseur à considérer, que vous soyez plutôt un amateur de films et séries TV, programmes télévisés ou de jeux vidéo.
Le processeur Alpha α9, qui constitue la principale attraction de la nouvelle gamme, ne constitue pas pour autant une nouveauté marquante malgré un apport certain en matière de qualité d’image et de fluidité de navigation, en revanche et malgré une compensation de mouvements améliorée, quelques micro-saccades sont encore parfois visibles sur certains travellings en 24p. De petites évolutions appréciables, mais qui dans le fond, sont davantage à mettre sur le compte d’une amélioration software et non véritablement du hardware. Reste la question de l’uniformité, et de ce point de vue, le banding se montre agréablement plus discret que sur les modèles 2017. Il reste maintenant à voir dans la durée si la tendance est véritablement généralisée.
Pour ce qui est du support 120 Hz, la nouveauté est certes intéressante, mais en l’absence de contenus HFR et la limitation aux contenus lus en USB, on peut se demander le réel intérêt de la chose… D’autant plus que le C8 n’offre pas en parallèle le support des technologies FreeSync/G-Sync et VRR, ce qui aurait pu constituer un motif d’intérêt supplémentaire pour les joueurs PC et consoles.
17 commentaires
Comme d’habitude, test complet et fouillé. L’attente de tes tests en valent la peine.
Ce C8 est intéressant, je vais être curieux de le voir en face de ces concurrents direct AF8 et FZ950.
Good Job.
Bonjour , Qu’en pensez vous par rapport au AF8 ? Merci
J’y reviendrais plus longuement lors du test de l’AF8 qui arrive bientôt, et qui lui aussi est affecté par quelques petits désagréments, pour autant je ne mettrais pas les deux modèles en opposition. Le C8 est objectivement un très bon téléviseur en l’état, légèrement meilleur que ce à quoi je m’attendais d’ailleurs, LG a bien travaillé sa copie et le rapport qualité/prix est vraiment intéressant, donc au final et comme souvent, le choix de l’un ou l’autre va se jouer sur des détails (sans compter les affinités avec tel ou tel type d’image)… 🙂
Bonjour d’apres Vous ou ce place le modèle Phillips 65oled873, par rapport au LG C8.
Un test du Phillips est il planifié ?
Merci.
Très bonne question de Antho ! 🙂
Bonjour Antho, pas encore d’avis particulier sur l’OLED873…mais il doit arriver prochainement 🙂
Merci pour votre retour.
Bonjour, Merci pour vos tests. comparé au sony, quel meilleur choix ?
Avez vous prévu un test du panasonic FZ ? Si oui quand ?
Merci
Pour la comparaison avec le Sony, voir ma réponse à Joe 😉
C’est prévu, mais il est très difficile pour le moment d’avoir une visibilité claire sur l’arrivée des nouveaux modèles Panasonic… :/
Merci pour le test !
Dommage qu’LG galère toujours un peu avec la fluidité !
Merci pour ce « vrai » test!
LG avec cette mouture 2018 continue de se rapprocher des cadors de l’OLED 2017 mais n’arrive pas à les dépacer!
Finalement on commence à comprendre pourquoi le A1 de chez Sony a subi une inflation depuis la sortie des 1er modèle 2018 …….. toujours dans le haut du panier pour un modèle de 2017
Vivement les prochains tests des Philips, Pana,et Sony ( même si chez eux le af8 n’apporte rien de nouveau et que la vraie Evo sera pour 2019 avec encore une grosse claque en perspective)
Salut.
Serait il possible d’avoir les réglages que vous avez trouvé les meilleurs ? Colorimétrie, etc…
Merci
Le problème c’est que chaque téléviseur est différent. Du coup pas sur que ça te serve à grand chose.
Bonjour, quand est prévu le test du Sony ?
Bonjour Eric,
Il arrive la semaine prochaine 😉
Merci beaucoup- J’attends avec impatience votre test.
A quand le test des nouveaux Panasonic série FZ ? Merci